
Mer ineffable, hydre à l’humeur toujours mouvante, Combien de galions ton ire fit radeaux ? Combien d’espoirs marins privés d’eldorados Par une écume encline aux rages d’épouvante ? Cruelle, brises-tu les bercements à dos De vagues étirant ton échine servante Par l’orageux retour d’une gueule fervente À seule fin d’offrande aux appétits hadaux ...