La première fois que le Dialogue de l’arbre se déploya sous mes yeux, alors que s’animaient les phrases par ma bouche, des ondulations cadentielles mirent mon âme en mouvement et mon oreille en joie. La prose d’apparence, dont la seule substance, sève solaire s’il en est, peut hisser le lecteur à l’émerveillement, chemine en maints endroits par groupes de greffons...
Réflexions sur la poésie et tentatives d’exégèse