Paul Verlaine

Épilogue (Paul Verlaine)

I Le soleil, moins ardent, luit clair au ciel moins dense. Balancés par un vent automnal et berceur, Les rosiers du jardin s’inclinent en cadence. L’atmosphère ambiante a des baisers de sœur La Nature a quitté pour cette fois son trône De splendeur, d’ironie et de sérénité : Clémente, elle descend, par l’ampleur de l’air jaune, Vers l’homme, son sujet pervers et révolté. Du pan de son...

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